LEVITATION FREE

Ce même sentiment ressenti la première fois que l’on prend l’avion, le train, le bus
scolaire et que le monde s’offre à nous… Levitation Free, c’est un surf psychédélique
à la californienne sur une vague qui respire la dream-pop.

Une envie de planer au-dessus des montagnes de l’Himalaya et de descendre les
Andes en luge d’été.

BAGARRE

Bagarre nous invite dans son CLUB : sans limites, sans frontière, sans genre, sans scène ni fosse, et où la liberté est totale. Pour BAGARRE, la fête est combative, on s’y mélange, on y est libre d’être qui on veut, comme on veut. Musicalement, les cinq membres restent fidèles à leur amour pour le chaos des musiques d’internet, des musiques qui font danser les corps et vibrer les subs, on passe du rap à la baile funk en se permettant des détours par du « happycore » avec des textes où l’on crie toujours l’amour et la douleur du temps présent.
Chaque morceau est un espoir, une lutte pour se libérer et le « clubbing autogéré » de BAGARRE vient faire exister le rêve tenace et idéaliste d’une société toujours plus ouverte et diverse. Et si la teuf est un lieu politique Bagarre ne cesse d’y clamer : “Personne n’a le droit de vous dire qui vous êtes”.

CAMP CLAUDE

Embarquer dans l’écoute d’un album comme “Moody Moon », c’est se faire le témoin de l’avènement d’un mélange des genres, de ce que Camp Claude appelait déjà lors de la parution de leur premier album : lasky-wave. Un terme carrément foutraque pour qualifier ce mix d’influences chassant du côté des murs de sons du shoe gaze, de la raideur de la cold-wave, des synthés et des guitares de la newwave contre balancés par les nappes et le charme éthérés de la dream-pop du rock des années 2000.

Un terme qui trouve sa meilleure illustration dans cet incompressible “Moody Moon”, troisième album sans compromissions et échafaudé en toute indépendance créative.

DOMBRANCE

Armé de son canon à confettis et de sa plus belle moustache, il a retourné sa cuisine, sa salle-de-bain et la chambre des enfants pendant le confinement…

Dombrance, l’homme qui fait rimer politique et clubbing depuis son passage aux Trans Musicales de Rennes en 2018, poursuit son projet electoralo-musical fou : Pour Une France qui Danse !